Géographie
Cet article est une ébauche. |
!! Avertissement : Données non actualisées |
Les Terres de Mandelsy ont une superficie de ... Et représentent la totalité des terres émergées connues de la planète... . Elles s'étendent sur environ x000 kilomètres d’est en ouest et de x000 kilomètres du nord au sud. La longueur totale de ses côtes atteint x kilomètres.
Le plus long cours d’eau est le Cavlore avec 677km dans sa partie mandelsienne. Le point le plus haut est le Gra’ham Auniake dans la chaîne des Monts de Grammes. La plus vaste étendue d’eau est le lac Ryck avec une superficie de 138 616 kilomètres carrés. La Mandelsy continentale comprend enfin un désert à l’est : le désert de Tadjbali.
Depuis 1825, les Terres Mandelsy sont organisées en un seul Etat fédéral : la République de Mandelsy. La Mandelsy continentale comporte une frontière terrestre au sud et un front maritime à l’ouest, au nord et à l’est.
Localisation et toponymie
!! Avertissement : Données non actualisées |
La Mandelsy est un pays de l’hémisphère sud du monde Gécée. Située au nord de l’Océania, elle se partage le continent avec trois autres états qui sont également ses voisins. Dans la partie continentale de l’Océania, on trouve au sud-ouest La Movenadie et au sud-est l’Empire Carnackien. À l’Ouest du continent on trouve l’archipel d’Alohen composé de trois grandes îles : le Peacksburg au sud, la Crosovie au centre et le Dunvegan au nord. Ces deux dernières îles sont rattachées à La Mandelsy. À l’est l’île Gravhm’ouche fait également partie de La Mandelsy. Enfin, au nord du pays on trouve un petit archipel également rattaché à La Mandelsy : La Faimicy.
La Mandelsy continentale est séparée de ses voisins par des obstacles naturels comme des chaînes de montagnes ou des cours d’eau ainsi que par des obstacles artificiels tels que des canaux (frontière ouest avec la Movenadie) ou des murs (frontière avec l’Empire Carnackien).
La superficie totale du pays est de 3 914 575 de kilomètres carré. Cette superficie inclut la Mandelsy continentale (3 606 678 kilomètres carré), l’île de Crosovie et ses dépendances (143 577 de kilomètres carré), l’île du Dunvegan (76 005 kilomètres carré), l’archipel Gravhm’ouche (88 313 kilomètre carré). L’archipel de Faimicy est conventionnellement inclut dans la superficie de la Mandelsy continentale étant donné sa proximité avec les côtes du pays.
Information : Données actualisées |
- Les îles de l'ouest s'appellent l'Ocëah'niah
- La mer séparant la Mandelsy continentale en deux est appelée faille des grands Rhyh'iphtes
- La vaste chaîne de montagne qui traverse le pays se nomme Monts de Grah'mes
Topographie
!! Avertissement : Données non actualisées |
La Mandelsy est composée de grands ensembles topographiques. L’ouest est constitué d’importants bassins sédimentaires de faible altitude. Ce sont des terres fertiles, largement irriguées par des cours d’eau dans un climat propice à l’installation humaine. Le centre-ouest est occupé par la chaîne des monts de Grammes (aussi appelée « Gra’Hams Grammes »). Cette chaîne s’étend en Mandelsy sur près de 1000 km de long. Son point culminant est le Gra’ham Auniake avec ses 5478 mètres de haut. Il s’agit également d’un des plus haut sommet d’Océania. Le centre-est du pays est relativement plat. Cette région de steppes est faite de collines de faible altitude et est traversé par quelques grandes rivières. À l’Est, on retrouve quelques émergences montagneuses avec le massif des Al’Jli lequel culmine à 1478 mètres (Al’Jli Byen). Ce massif se prolonge sur l’archipel Gravhm’ouche et formait il y a plusieurs dizaine de millions d’année une seule et même chaîne de montagne.
Sur les îles de Crosovie et du Dunvegan on retrouve également quelques émergences montagneuses issues du passé volcanique de ces îles. Le Mont Yricke constitue le sommet le plus haut de Crosovie avec ses 1496 mètres tandis que la Punta Rhama, au Dunvegan, culmine à 1403 mètres. Enfin dans l’archipel de Faimicy, également archipel issu de l’activité volcanique, le point culminant se situe à 777 mètres d’altitude.

Mers et Océans
Reliefs
Hydrographie
!! Avertissement : Données non actualisées |
La Mandelsy est traversée par de nombreux fleuves et rivières d'importance variée. De manière générale, le réseau hydrographique est dense sur l'Ouest du pays du fait de la présence de la chaîne des Monts de Grammes et beaucoup plus clairsemé sur le centre et l'Est du pays du fait de la présence de grandes plaines.
Les trois plus longs cours d'eau du pays sont le Cavlore (677 km en Mandelsy), la Cisif (501 km) et La Choisille (496 km). Le Cavlore et la Choisille sont deux fleuves tandis que la Cisif est une rivière qui se jette dans le Lassiroire fleuve d'une longueur de 403 kilomètres (à la 7ème place des cours d'eau les plus longs du pays). La Cisif, présente aussi un homonyme aussi connu sous le nom de Petite Cisif. Ce fleuve long de 53 kilomètres traverse la ville de Thilck sur Cisif. Le Cavlore prend sa source dans l'Empire Carnackien. Il est nommé Pasna dans ce pays. Si on considère les deux parties de l'Ernbre, le grand fleuve reliant le lac Rikj et le lac royal à la mer, celui-ci mesure 546 kilomètres faisant de lui le deuxième cours d'eau du pays par sa longueur.
La plupart des grandes villes Mandelsiennes sont traversés par un fleuve ou une rivière d'importance. Ainsi Theide se situe au niveau de l'embouchure de la Choisille et Valaxtine sur Choisille sur le cours de ce fleuve. Merick sur Cisif et Montgarlac sont traversés par la Cisif. Jorfou et Gwarnay sont parcourues par l'Einse, Vouray se trouve sur le cours de l'Ernbre, Vermengue sur le cours du Chenaux et Elsonburg sur le cours de la Ronderie.
La Mandelsy compte également deux grands lacs : le lac Ryck d'une superficie de 138 616,492 kilomètres carré et le lac royal d'une superficie de 15132,162 kilomètres carré. Leur superficie importante font qu’ils sont parfois considérés comme des mer intérieures.
La plupart des grandes rivières et fleuves sont navigables. En l’absence de réseau routier développé, les cours d’eau sont donc un maillon essentiel au commerce et au transport de personnes en complément du réseau ferré. Par le passé, les cours d’eau permirent aux aurinéens de coloniser l’intérieure des Terres mandelsiennes et particulièrement celles autours des deux grands lacs.
Découpage territorial
Information : Données actualisées |
Au XVIIIème siècle, les Terres de Mandelsy étaient majoritairement organisées sous la forme d'un état féodale (pour la partie continental) et d'états républicains. En conséquence, les limites territoriales des terres continentales changeaient régulièrement là où celles des états périphériques étaient plus stables. Les territoires étaient ainsi morcelés en d'innombrables petites entités lesquelles se retrouvent dans le découpage territorial de nos jours.
Avec la construction d'une république fédérale unifiée à partir de 1815, trois niveaux d'échelons territoriaux sont fixés. Certains de ces échelons sont hérités de la période du grand royaume de Mandelsy tandis que d'autres sont plus anciens et hérités des périodes républicaines antérieures.
La CGETM
La codification générale des entités territoriales mandelsiennes (abrégé CGETM) est un système de codage des différentes entités territoriales mandelsiennes mis en place en 1815. Cette codification est instaurée suite à la stabilisation des limites des différentes entités territoriales mandelsienne et à l'instauration de trois nivaux de subdivisons territoriales.
Chaque entité est définie par un code unique composé de 2 à 7 chiffres. Les codes à 2 chiffres (CGTEM-1) identifient les provinces autonomes. Les codes à 4 chiffres (CGETM-2) identifient les entités territoriales intermédiaires (ETI) : comtés, départements (en Crosoh'nahï et en Olik'Yerh), résidences (au Duhnveh'nahï), daljlilis (en Talj'Bahlï), orholh (en Fayhmy'nahï) selon les provinces. Enfin les codes à 7 chiffres (CGTEM-3) identifient les entités territoriales primaires (ETP) : communes, malgrandàs (au Duhnveh'nahï), daljlilos (en Talj'Bahlï), karhberns (en Fayhmy'nahï) selon les provinces.
Les provinces

Le premier et le plus important est celui des provinces autonomes (aussi appelées "état"). On dénombre au 1er janvier 1824, après l'unification de l'Olik'Yerh, 15 provinces autonomes et 1 district capitale (Valax'Thine) ayant également sa propre gouvernance.
Ces provinces sont issues des royaumes existant depuis la révolution de 1649. Jusqu'au 15 juillet 1815, ces royaumes sont pratiquement autonomes. Ils sont dirigés par un roi qui prête allégeance au roi des Terres de Mandelsy. Ces rois avaient en dessous d’eux une multitude de petits seigneurs organisant la société en un système féodal. Les rivalités entre seigneurs créaient une instabilité territoriale importante. Les frontières évoluaient ainsi très régulièrement au grès des affrontements entre seigneurs rivaux. Le découpage actuel avec des provinces aux territoires parfois morcelé est issu de cette période. À noter que les états insulaires (Crosoh'nahï, Olik'Yerh, Duhnveh'nahï, Fayhmy'nahï et Eskilsd) ne fonctionnaient pas selon ce système féodal et constituaient des états indépendants sous la forme de républiques (Crosoh'nahï et Fayhmy'nahï), d'un protectorat (Duhnveh'nahï) et d'un empire (Ivah'noah, état ayant précédé l'Olik'Yerh).
En 1814, Justine de Salamille, alors impératrice des Terres de Mandelsy, impose à ses vassaux de cesser les guerres de territoires. Cela fixe définitivement la limite des états continentaux. Quelques tentatives de simplifications ont été opérées sans succès. En 1815, les accords de Silith, commencent à définir les compétences des états membres de l'OCGC ainsi que celles que ces états souhaitent déléguer à un état central. Ces accords et cette coopération étendue au sein de l'OCGC sont les prémices de la proclamation de la République le 15 juillet 1815. Malgré le déroulement de cette rencontre à Silith, plusieurs états dont la Crosoh'nahï refusent de faire partie de l'OCGC. Ces accords demeurent en outre très génériques et pas suffisamment précis pour transformer l'OCGC en un état fédéral. La proclamation de la République le 15 juillet 1815 n'y changera rien et ce notamment du fait de l'absence de constitution.
Les années 1816 et 1817 voient des tentatives de fixer plus précisément les compétences et le fonctionnement des provinces sans succès.
Les années 1818 et 1819 marquent un certain recul dans le transfert de compétences des états fédérés vers l'état central. On revient peu à peu à la situation pré-accord de Silith, où chaque état fonctionne en autonomie. Le paroxysme de cette situation intervient en décembre 1821 lors des évènements de la seconde opération papillon alors que la province du Mont'Gra'Ham se proclame indépendante. Le retour à un système plus centralisé est officialisé avec l’avènement de la septième république en 1822.
Le 12 février 1821, l'assemblée des Maires des terres de Mandelsy approuve l'entrée du Dalj de Talj'Bahlï comme province de la République..
Le 24 avril 1822, l'assemblée des Maires des terres de Mandelsy approuve l'entrée de l'Eskilsd comme province de la République. Ce nouvel état est nommé en forme longue "Terres Australes d'Eskilsd".
Le 15 mai et le 17 juin 1823, c'est respectivement au tour du Duhnveh'nahï et de l'Olik'Yerh de devenir des provinces de la République.
Enfin, le 1er janvier 1825, la Crosoh'nahï, dernier état non intégré à la république, entre dans celle-ci achevant la troisième unification des Terres de Mandelsy.
CGETM | Nom | Drapeau | Nombre d'habitants | Description courte | Localisation |
---|---|---|---|---|---|
01 | Appart'nhay | ![]() |
54 101 946 | ![]() | |
02 | Chaih'nahï | ![]() |
23 122 889 | ![]() | |
03 | Elsoh'nhay | ![]() |
8 697 016 | ![]() | |
04 | Gahvtoh'nahï | ![]() |
3 550 484 | ![]() | |
05 | Lahver'nhay | ![]() |
3 994 153 | ![]() | |
06 | Mont'Gra'Ham | ![]() |
14 414 235 | ![]() | |
07 | Sih'nahï | ![]() |
39 929 628 | ![]() | |
08 | Sussi'nahï | ![]() |
1 885 261 | ![]() | |
09 | Avrayh'nahï | ![]() |
22 425 955 | ![]() | |
10 | Valax'thine | ![]() |
1 499 124 | ||
11 | Fayhmy'nahï | ![]() |
614 021 | ![]() | |
12 | Talj'Bahlï | ![]() |
7 142 687 | ![]() | |
13 | Eskilsd | ![]() |
~ 55 000 | ![]() | |
14 | Duhnveh'nahï | ![]() |
14 215 100 | ![]() | |
15 | Olik'Yerh | ![]() |
109 938 124 | ![]() | |
16 | Crosoh'nahï | ![]() |
28 124 120 | ![]() |
Les entités territoriales intermédiaires (ETI) : comtés, départements, résidences, dlajlili, orholh

L'échelon territorial suivant est celui des entités territoriales intermédiaires (plus souvent dénommé comtés ou départements en Crosoh'nahï et en Olik'Yerh, résidences au Duhnveh'nahï, daljlilis en Talj'Bahlï, orholh en Fayhmy'nahï). Ceux-ci sont hérités d'anciens royaumes plus petits composants les royaumes des Grands Royaumes de Mandelsy.
Les comtés correspondent à l'échelon territorial CGETM-2. Il s'agit de l'échelon territorial intermédiaire. Cet échelon territorial n'existe pas en Eskilsd du fait de la faible densité de population.
Dans le grand royaume de Mandelsy, les comtés sont de petits royaumes. Chacun d'eux, dirigé par un seigneur, prête allégeance à un seigneur plus puissant : le roi d'une province. Au début des années 1810, il existe 62 comtés en Mandelsy continentale.
Avec l'avènement de la république en 1815, les limites des comtés sont également fixées. Durant les troisième et quatrième républiques, les comtés ne sont dotées d'aucune compétence ni administration particulière. Sous la septième république, chaque comté (et leur équivalent dans les provinces non continentales) se voit doté d'un chef-lieu. Les comtés deviennent un échelon législatif important. Les habitants élisent à l'échelle des comtés leur représentant à l'assemblée nationale. Le nombre de représentants est déterminé en fonction de la population du comté (environ 1 représentant pour 400 000 habitants).
Les entités territoriales primaires (ETP) : communes, malgrandà, dajlilo, karhbern

L'échelon territorial le plus fin est celui des entités territoriales primaires (plus souvent dénommé communes ou malgrandàs au Duhnveh'nahï, daljlilos en Talj'Bahlï, karhberns en Fayhmy'nahï). Il en existe xxxx. La plupart des communes correspondent à d'anciens fiefs de la période féodale, prenant eux même source dans le découpage communale de la première et de la seconde république.
La commune correspond à l'échelon territorial le plus fin (CGETM-3). Elles regroupent généralement plusieurs villes ou villages. En Crosoh'nahï elle correspondent généralement strictement à une ville ou à un village ce qui explique leur nombre élevé au regard de la superficie de ce territoire. Au Duhnveh'nahï on parle également de commune mais plus souvent de malgrandàs. Elles correspondent le plus souvent à une ville ou un village à l'exception de la malgrandàs de Punta de Mazaltàn. En Talj'Bahlï, on parle de daljlilos, lesquels peuvent inclure plusieurs villes ou villages. Enfin en Fayhmy'nahï, on parle de karhberns ou plus classiquement de ville. Chaque karhberns correspond à une place fortifiée et donc le plus souvent à un village ou ville. En Eskilds, on parle de commune. Étant donné la faible densité de population, on en compte que trois autour des trois principaux villages sédentaires du territoire.
Historiquement, la commune est l'échelon territorial le plus ancien puisque le premier découpage date de la première période républicaine (755-1190 APU). La plupart des limites communales ont évolué depuis mais le nombre de communes (ou de fief à l'époque du grand royaume de Mandelsy) est resté sensiblement le même.
En 1815, au moment où ont été fixées les limites des provinces et des comtés, les limites communales sont également stabilisées. Il est décidé la création d'une nouvelle commune, celle de Valax'Thine qui comprend un morceau du territoire des communes avoisinantes. L'objectif était d'associer la troisième République à une nouvelle capitale.
C'est à cet échelon que sont décidés les politiques d'aménagement du territoire. Sous la troisième république, du fait de la faiblesse du pouvoir central, les communes ont pris elles aussi beaucoup de libertés et se sont octroyées de nombreuses compétences. Sous les quatrièmes et septièmes républiques, les Maires des communes sont directement acteurs des institutions républicaines en étant associés à la rédaction de la constitution et au vote des lois.
Climat
!! Avertissement : Données non actualisées |
La Mandelsy est caractérisée par une dominance de climats tropicaux et subtropicaux.
On retrouve sur toute la côte sud-ouest un climat médigécéen, lequel est marqué par des étés chauds et secs et des hivers doux et humides. On ainsi, d’avril à octobre des précipitation modérées hivernales (75 à 100 mm par mois) et des températures douces (de 10 à 17°C) en moyenne. L’été, de décembre à mars est souvent chaud (23 à 26°C de moyenne) et plus sec avec des précipitations arrivant souvent sous forme d’averses orageuses. Ce climat propice aux activités agricole comme la culture des lavandiers et des tourneselles, a notamment engendré une concentration de la population sur la côté ouest.
Tableau climatique Theide.png La moitié nord du pays est marquée par un climat tropical majoritairement humide dans lequel on distingue une longue saison humide (d’octobre à avril, avec jusqu’à 200 mm de précipitation en février) et une courte saison sèche (de mai à août). Les températures moyennes annuelles sont bien supérieure à 20°C avec juillet comme mois le plus frais (19,2°C de moyenne sur la période 1980-2010) et janvier comme mois le plus chaud (30,7°C de moyenne). Cette zone climatique est également marquée par des cyclones réguliers ayant généralement lieu en novembre ou décembre. On note aussi à la marge de cette zone tropicale humide, quelques zones tropicales sèches. Celles-ci se distinguent des premières par une saison sèche beaucoup plus longues (6 à 8 mois, entre mi-mars et mi-octobre).
Tableau climatique Elsonburg.png Les montagnes du centre-ouest de la Mandelsy sont dotées d'un climat montagnard subtropical dans les zones au-delà de 1500 mètres. Sur le flanc nord-ouest de la chaîne de montagne, le climat est plutôt sec avec des précipitations espacées mais souvent diluviennes. Sur le flanc sud-est, le climat est plus humide avec des précipitations plus régulières. Le flanc Est des Monts de Grammes est en effet le point d’aboutissement des vents dominants venues de la mer de Batchy. Enfin les hauts sommets sont largement arrosés et couverts de neige de mars à novembre à partir de 3000 mètres. Les températures sont nettement moins élevées qu’ailleurs en Mandelsy.
Tableau climatique Koronak.png La Mandelsy compte une zone aride : le désert de Tadjbali à l'est du pays. Cette zone, est caractérisée par de très faibles précipitations accompagnées de température élevées en journée et froide la nuit et ce toute l'année. Ainsi les température moyennes sont moins élevées que dans les zone tropicales. En journée, les températures peuvent franchir les 50°C aux mois de janvier et février et descendre sous les 0°C la nuit en juillet. La formation de cette zone désertique est, aujourd'hui encore, mal comprise par les climatologues. L’archipel de Faimicy est également une zone désertique avec des températures similaires à celles de la Talj’Bali mais avec des différences entre nuit et jour moins marquées.
Tableau climatique DaljLalLai.png Le sud du pays est marqué par un climat sub-tropical avec des zones sub-tropicales humides à proximité de la chaîne de montagne des Monts de Grammes et de la frontière sud-est avec l'Empire Carnackien. Dans les zones sub-tropicales sèches les précipitations sont rares mais ponctuellement intenses. Les températures sont relativement constantes sur toute l’année avec une moyenne autour des 20°C.
Enfin la communauté autonome d'Eskilsd, située au pôle nord a un climat polaire et est donc caractérisé par des températures froides toute l'année. En hiver le froid est permanent du fait la quasi absence de rayonnement solaire. L'été est beaucoup moins froid du fait de la persistance du jour mais les températures descendent allégrement en dessous les 0°C. Du fait du dérèglement climatique, l'Eskilsd est plus largement l'Inuktikut, font l'objet d'évènements climatiques de plus en plus extrêmes. Ainsi, sont devenues monnaie courantes les vagues de froid en hiver, les vagues de chaleur en été et les tempêtes de toutes nature. Ces dernières peuvent parfois durer plusieurs semaines à l'image de la tempête fyordentin'hja de juillet 2022[13].
Le Shämölh'devorhÿ
Information : Données actualisées |
Le Shämölh'devorhÿ est le nom donné à la zone climatique entourant les Terres de Mandelsy. Il s'agit d'une immense zone de tempêtes et aux courant maritimes chaotiques réputée infranchissable.
Catastrophes naturelles
![]() |
Ressources naturelles
Information : Données actualisées |

Les Terres de Mandelsy possèdent de nombreuses ressources naturelles en particulier sur l’Est du territoire et sous les chaînes de montagnes. De manière générale, on retrouve du charbon sous les chaînes montagnes, du gaz et du pétrole à l’ouest sous les îles de l'archipel d'Ocëah'niah et du gaz de schiste à l’est.
Si le gaz de schiste n’est pas exploité car majoritairement situé sous la mer, les autres ressources le sont et en particulier en Crosoh'nahï et en Olik'Yerh. Sur le continent l’exploitation de ces ressources est limitée et en décroissance depuis la mise en place du plan EDEM en 1815. Ainsi, la création de nouvelle mines de charbon, gaz, gaz de schiste ou pétrole est prohibée. Les règles environnementales pesant sur les exploitations existantes ont été considérablement renforcées.
Les Terres de Mandelsy comptent également de nombreuses aquifères fossiles (i.e. nappe d’eau souterraines qui ne se régénèrent pas ou à une vitesse trop lente à l’échelle d’une vie humaine). Elles sont également exploitées de manière intensive afin de pourvoir les grandes métropoles en eau potable. Là encore le plan EDEM encadre les pompages dans les aquifères fossiles et vise leur fermeture totale d’ici à 1830.
Afin de convoyer les ressources extraites, des gazoducs, des oléoducs et des aqueducs ont été construits. Le gazoduc du Grand Est a la particularité de traverser la moitié du pays depuis les exploitations gazières de l’est jusqu’à Theide. Ailleurs, le réseau de grandes canalisations est plutôt réduit et faiblement interconnecté. Chaque grande ville possède par exemple son réseau d’aqueducs. Seule la Crosoh'nahï est bien irriguée avec des oléoducs et des gazoducs permettant de relier toutes les exploitations du pays au port de Lamb'dyotah.
Le sous-sol mandelsien regorge également de minerais et autres pierres précieuses. Là encore de nombreuses mines existent et sont toujours en exploitation. D’autres lieux sont également supposés abriter certains minerais mais l’extraction y est interdite. Les exploitations minières se concentrent dans les chaînes de montagnes, et dans la faille des grands Rhyh'iphtes . Des mines clandestines existent également. Certaines ont d’ailleurs été découvertes en 1821 et fermées depuis.
-
Mine clandestine abandonnée découverte en 1821
-
Mine clandestine abandonnée découverte en 1821
Enfin, les Terres de Mandelsy sont recouvertes par de nombreuses forêts notamment grâce au climat chaud et humide qui domine une large partie du territoire. Ces forêts ont par le passé été intensément exploitées et ont diminué de moitié dans la période courant de 1600 à 1740 (début de la grande guerre). De 1750 à 1815, le couvert forestier s’est de nouveau contracté mais à une vitesse moindre. Depuis 1815, et la mise en œuvre du plan EDEM, le défrichage est strictement encadré et les exploitants ont l’obligation de replanter.
Organisation du territoire
Répartition de la population
Information : Données actualisées |
Les Terres de Mandelsy comptent 333 709 743 habitants en 2018.
La population se concentre surtout sur la côte Ouest de la Mandelsy et dans les îles de l'archipel d'Oceah'niah.
La province la plus peuplée est celle d'Olik'Yerh avec un peu plus de 109 Millions d'habitants. Viennent ensuite les provinces d'Appart'nhay (54 millions d'habitants) et du Sih'nahï (39 million d'habitants). La province de Mont'Gra'Ham est celle ayant les plus grandes disparités dans la répartition de la population avec des communes très peuplées autour de la ville de Mont'gar'lahk et d'autres peu peuplées dans les hautes montagnes. La province la moins peuplée est celle d'Eskilsd au sud des Terres de Mandelsy du fait du climat polaire qui y règne.
CGETM | Nom | Province | Drapeau / armoirie | Nombre d'habitants | Description courte | Localisation |
---|---|---|---|---|---|---|
1501001 | Katta'shahar | ![]() |
75023012 | |||
0101001 | Theide | ![]() |
10541213 | |||
1501002 | Moh'rikhon Valley | ![]() |
9004152 | |||
1501003 | Bahar'gho'hes | ![]() |
8230124 | |||
0301001 | Elsoh'Tirligahn | ![]() |
5605812 | |||
0601001 | Mont'gar'lahk | ![]() |
4004072 | |||
0701001 | Larh'çay | ![]() |
3979094 | |||
1001001 | Valax'thine | ![]() |
1499124 | |||
1601001 | Silith | ![]() |
1412615 |
Morphologies urbaines
Ville cotière de l'ouest

Démographie
Information : Données actualisées |
Les Terres de Mandelsy comptent 333 709 743 habitants en 2018.