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La Mandelsy est caractérisée par une tradition sportive ancienne et une variété modérée de disciplines pratiqués par ses habitants et à haut niveau. Cette tradition remonte aux différentes périodes républicaines qui promeuvent la pratique sportive quotidienne. Si le Grand Royaume de Mandelsy a moins été vecteur de cette tradition, elle demeure néanmoins depuis.

Sur le plan international, la Mandelsy s’est jusqu’à la fin des années 2000 tenue à l’écart des grandes compétitions internationales. Par exemple, sa première participation aux jeux olympiques remonte à 2008. Depuis 2015, le pays est désormais présent dans la plupart des grands évènements sportifs. La consécration de cette ouverture a été l’organisation des Jeux Olympiques de Theide en 2016 et la création du Comité Olympique Mandelsien.

Le symbole régulièrement utilisé pour identifier les délégations mandelsiennes dans les évènements sportifs est le renard de feu ou Firefox, animal symbolique de la Mandelsy.

Les villes mandelsiennes ne possèdent qu'assez rarement des infrastructures sportives en dehors des hippodromes. Seule la ville de Theide comporte un complexe sportif complet. Cette ville s'est en effet dotée d'un stade olympique, d'une piscine, de cours de tennis ainsi que de d'autres infrastructures à l'occasion des jeux Olympiques d'été de 2016.

Equitation

La Mandelsy a une très ancienne tradition de sports hippiques qui remonte à l’époque médiévale. La Fédération Mandelsienne des Sports Hippiques (FMSH) a été fondée en 1814 pour structurer la pratique de loisir et de compétition.

Cette fédération a créé de nombreuses compétions dont notamment les 24h de l'Aubrière (en 1814), une course hippique durant 24h et se déroulant dans la ville de L'Aubrière sur Choisille. Plusieurs championnats rythment les saisons sportives mandelsiennes et sont également gérés par la FMSH. Le plus prestigieux championnat est la Classic Cup Mandelsienne, une course hippique de vitesse sur 2777 mètres. Les courses ont lieux alternativement dans les différents hippodromes des grandes villes mandelsiennes. Cette course est également déclinée chez les plus jeunes en Classic Cup Juniors (de 18 à 21 ans) et en Classic Cup des jeunes (de 15 à 18 ans). La saison de la Classic Cup commence généralement après les 24h de l'Aubrière au début de l'hiver. Les courses des mois de juin, juillet et août sont donc réputées pour être difficiles notamment dans les hippodromes du sud du pays.

La Long Cup Mandelsienne fonctionne sur le même principe mais est une course de distance. Il s'agit pour les cavaliers de couvrir la plus grande distance en 6 heures avec au maximum trois montures différentes. Dans ce championnat une attention toute particulière est portée aux conditions de vie des chevaux. Cela influe d'ailleurs grandement sur le classement final. Enfin de nombreux meetings sont organisés dans les différentes grandes villes du pays comme le Meeting de Theide ou le Meeting de Larçay. Les épreuves des meetings sont relativement diversifiées avec du dressage, des épreuves de saut, des courses de vitesse et des courses longues.

La Fédération Mandelsienne des Sports Hippique compte quelques 7500 écuries affiliées pour environ 2,5 Millions de pratiquant réguliers. Cela n’inclut pas les pratiques réalisées en dehors du cadre fédéral. Si la majorité des pratiquants sont des hommes (60% d’hommes contre 40% de femmes) l’écart tant à se réduire au fil des ans.


Vue aérienne de l'hippodrome de l'Aubrière sur Choisille]]


Logo de la Classic Cup Première division]]

Judo (école de Kandoko)

Goji No Karo, fondateur du judo de l'école de Kandoko Le Judo a été créé en Mandelsy à la fin des années 1850 par Goji No Karo, ancien soldat ancérien en exil. Suite au renversement de la République en Ancore, Goji No Karo, comme la plupart de ses semblables, a été forcé à l’exil. Au terme d’un périple d’un an autour du monde, il s’est installé en Mandelsy dans la ville de Larçay. Comme tous les soldats d’élite ancériens, Goji No Karo maitrise de nombreux arts de combats à main nu. En s’installant à Larçay il décide de fonder une école afin de transmettre cet art. Il fonde ainsi le premier dojo dédié à sa discipline qu’il nomme Judo (littéralement voie de la souplesse) et qu’il présente comme une discipline pédagogique qui vise au développement physique, mental et moral de ses pratiquants. Cette école est nommée Kandoko en hommage au petit village de la préfecture de Shinyama dans laquelle Goji No Karo est né.

Dans les années 1860 à 1900, le judo de l’école de Kandoko, se diffuse dans le royaume du Sinaï à la faveur de souverains qui voient en cette pratique un moyen d’éduquer les jeunes mandelsiens. Indirectement, les souverains y voient aussi une première approche pour former des citoyens robustes et aptes à respecter la discipline militaire une fois adulte. Même si cela vient en contradiction avec les principes de Goji No Karo, celui-ci poursuit le développement de la discipline en profitant de cette promotion faite par les pouvoirs en place.

Au cours du XXème siècle le judo se diffuse un peu partout en Mandelsy, s’exporte dans les pays voisins ainsi qu’un peu partout dans le monde Gécée. Il s’implante durablement sur la côte ouest où de grands clubs voient le jour à Theide, Détour, Jorfou …

De nos jours, la Fédération Mandelsienne de Judo Kandoko recense environ 1300 clubs répartis un peu partout dans le pays mais avec une plus forte concentration sur la côte ouest. Ces clubs accueillent en 2021 environ 530 000 licenciés ce qui fait du judo la deuxième discipline la plus pratiquée après l’équitation. Il s’agit de la seule fédération comptant autant de femmes que d’hommes dans ses pratiquants. À la faveur de l’ouverture de la Mandelsy aux compétions internationales, des judokas mandelsiens commencent à s’affirmer sur la scène mondiale. C’est notamment le cas de Ted Spinner en plus de 100kg ou d’Hélène Cojwiak en moins de 52kg qui ont en 2020 remporté un titre de champion du monde.

Lors des jeux olympiques de Maris Cantii en 2021, la Mandelsy présente un judoka dans chacune des 14 catégories de poids ainsi qu'une équipe mixte. Elle remporte à cette occasion 3 médailles d'or (Candice Gnougnou en -63kg, Ted Spinner en +100kg et dans le tournoi en équipe mixte), 1 d'argent (Dav Douillette en -100kg) et 3 de bronze (Persilla Netto en -57kg, Emilie Bémole en +78kg et Matthieu Laguerre en -90kg). Au tableau des médailles, la Mandelsy est donc classée deuxième nation derrière le Commonwealth et devant l'Empire Carnackien.


Amande Charbu, -48kg


Hélène Cojwiak, -52kg


Candice Gnougnou, -63kg


Gomart Pinel, -70kg


Emilie Bémole, +78kg


William Ficelle, -60kg


Benjamin Camargue, -66kg


Hugo Lepetit, -81kg


Matthieu Laguerre, -90kg


Dav Douillette, -100kg


Ted Spinner, +100kg

Escrime

Tout comme les sports hippiques, l’escrime est héritée de l’époque médiévale. À la faveur d’une pratique de plus en plus importante dans les milieux aisés durant l’âge d’or de la deuxième république, la discipline se structure en une fédération au début du XIXème siècle. La Fédération Mandelsienne d’Escrime et Disciplines Associées est ainsi créée en 1815. Les clubs d’escrime sont alors des lieux d’échange et de négociation pour les riches marchands subordonnés aux différentes confédérations marchandes. Pendant cette période mais aussi durant les premières décennies du Grand Royaume de Mandelsy, l’escrime est une pratique réservée aux classes les plus aisées c’est-à-dire aux marchands et aux familles nobles.

La pratique se démocratise dans l’après-guerre à la faveur de la déstabilisation générale du pays. En effet, dans un contexte de conflit permanent, les différents souverains encouragent la jeunesse à pratiquer diverses activités sportives permettant, sans véritablement le dire, de préparer les futurs citoyens à la guerre.

La FMEDA est, en 2020, la troisième fédération sportive mandelsienne avec 1100 clubs et 510 000 licenciés. Les pratiquants de la fédération d’escrime sont en majorités des hommes (65% d’hommes contre 35% de femmes).

Tir à l'arc

Une nouvelle fois le tir à l’arc en tant que discipline sportive prend sa source dans les pratiques guerrières anciennes. Dès l’antiquité mandelsienne, les guerriers suffouites de l’Est du pays se spécialisent dans le tir à l’arc. En effet, du fait de leur faible nombre par rapport à leurs ennemis, ils développent une stratégie qui consiste à maintenir leurs adversaires à distance en développant leurs compétences au tir à l’arc.

Si la discipline sportive est bien différente de ses origines guerrières, elle demeure développée surtout dans l’Est du pays en territoire suffouite. La tradition veut que les jeunes suffouites soient initiés très jeunes au maniement de l’arc. En 1840, à l’initiative du ministère des sports sous la deuxième République, une fédération est créée afin de structurer la discipline, de la développer en dehors de la Suffisy et d’organiser des compétitions.

Aujourd’hui, la Fédération de Tir à l’Arc et des Disciplines Associées (FTADA) compte environ 275 000 licenciés. Si en nombre, ceux-ci sont plus nombreux dans l’ouest du pays du fait de la plus importante densité de population, c’est bien toujours dans l’Est du pays que la discipline est majoritaire.

Cyclisme

Loupe Wiki GC 2020.png Article(s) détaillé(s) : Équipe cycliste Mandelsy Cycles Sport Si la bicyclette est présente en Mandelsy depuis la fin du XIXème siècle, son développement est resté très marginal. Les mandelsiens ont en effet préféré le cheval comme mode de déplacement. La pratique sportive était également peu développée. D’une part du fait de la faible pénétration de la bicyclette dans le pays mais aussi du fait de l’absence de voies suffisamment carrossées pour assurer une pratique confortable.

Un tournant s’opère au début des années 2010, avec l’aménagement de quelques itinéraires cyclables de grand tourisme dans l’ouest du pays. Depuis, la pratique sportive et de loisir se développe à rythme soutenu. La Fédération Mandelsienne des Cyclistes qui est à la fois chargée de la promotion de la bicyclette comme mode de transport mais aussi comme pratique est créée en 2015. Elle compte en 2020 quelques 125 000 licenciés ce qui en fait la cinquième fédération sportive du pays et celle avec le plus fort taux de croissance.

Autres disciplines

Les autres disciplines bénéficient d’un développement moindre en Mandelsy. En particulier, les sports collectifs sont assez peu développés ceux-ci requérant souvent des infrastructures et des espaces que la Mandelsy ne possède pas. Il est par exemple assez difficile de maintenir des stades dans les villes de l’Ouest où l’espace est rare du fait de la densité de population.

Toujours du fait du manque d’infrastructures, des disciplines individuelles comme la natation, le golf ou encore le tennis, sont marginaux. La plupart de ces sports sont regroupés dans des fédérations omnisports. Par exemple la natation est géré par la Fédération des Sports Nautiques (FSN) avec des disciplines comme la plongé, la voile, le surf … Le golf et le tennis sont regroupés au sein de la Fédération des Sports de Frappe (FSF) laquelle gère également le badminton, le tennis de table et le baseball. Des sports collectifs comme le football, le rugby, le handball, le basketball ou le volley-ball sont regroupés au sein de la Fédération des Sports Impliquant un Référentiel Bondissant (FSIRB), aussi appelée fédération des sports de ballon.

Notes et références

Articles connexes

Notes

Références