Géographie
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Localisation et toponymie
- Les îles de l'ouest s'appellent l'Ocëah'niah
- La mer séparant la Mandelsy continentale en deux est appelée faille des grands Rhyh'iphtes
- La vaste chaîne de montagne qui traverse le pays se nomme Monts de Grah'mes
Topographie
Mers et Océans
Reliefs
Hydrographie
Découpage territorial
Au XVIIIème siècle, les Terres de Mandelsy étaient majoritairement organisées sous la forme d'un état féodale (pour la partie continental) et d'états républicains. En conséquence, les limites territoriales des terres continentales changeaient régulièrement là où celles des états périphériques étaient plus stables. Les territoires étaient ainsi morcelés en d'innombrables petites entités lesquelles se retrouvent dans le découpage territorial de nos jours.
Avec la construction d'une république fédérale unifiée à partir de 1815, trois niveaux d'échelons territoriaux sont fixés. Certains de ces échelons sont hérités de la période du grand royaume de Mandelsy tandis que d'autres sont plus anciens et hérités des périodes républicaines antérieures.
La CGETM
La codification générale des entités territoriales mandelsiennes (abrégé CGETM) est un système de codage des différentes entités territoriales mandelsiennes mis en place en 1815. Cette codification est instaurée suite à la stabilisation des limites des différentes entités territoriales mandelsienne et à l'instauration de trois nivaux de subdivisons territoriales.
Chaque entité est définie par un code unique composé de 2 à 7 chiffres. Les codes à 2 chiffres (CGTEM-1) identifient les provinces autonomes. Les codes à 4 chiffres (CGETM-2) identifient les entités territoriales intermédiaires (ETI) : comtés, départements (en Crosoh'nahï et en Olik'Yerh), résidences (au Duhnveh'nahï), daljlilis (en Talj'Bahlï), orholh (en Fayhmy'nahï) selon les provinces. Enfin les codes à 7 chiffres (CGTEM-3) identifient les entités territoriales primaires (ETP) : communes, malgrandàs (au Duhnveh'nahï), daljlilos (en Talj'Bahlï), karhberns (en Fayhmy'nahï) selon les provinces.
Les provinces

Le premier et le plus important est celui des provinces autonomes (aussi appelées "état"). On dénombre au 1er janvier 1824, après l'unification de l'Olik'Yerh, 15 provinces autonomes et 1 district capitale (Valax'Thine) ayant également sa propre gouvernance.
Ces provinces sont issues des royaumes existant depuis la révolution de 1649. Jusqu'au 15 juillet 1815, ces royaumes sont pratiquement autonomes. Ils sont dirigés par un roi qui prête allégeance au roi des Terres de Mandelsy. Ces rois avaient en dessous d’eux une multitude de petits seigneurs organisant la société en un système féodal. Les rivalités entre seigneurs créaient une instabilité territoriale importante. Les frontières évoluaient ainsi très régulièrement au grès des affrontements entre seigneurs rivaux. Le découpage actuel avec des provinces aux territoires parfois morcelé est issu de cette période. À noter que les états insulaires (Crosoh'nahï, Olik'Yerh, Duhnveh'nahï, Fayhmy'nahï et Eskilsd) ne fonctionnaient pas selon ce système féodal et constituaient des états indépendants sous la forme de républiques (Crosoh'nahï et Fayhmy'nahï), d'un protectorat (Duhnveh'nahï) et d'un empire (Ivah'noah, état ayant précédé l'Olik'Yerh).
En 1814, Justine de Salamille, alors impératrice des Terres de Mandelsy, impose à ses vassaux de cesser les guerres de territoires. Cela fixe définitivement la limite des états continentaux. Quelques tentatives de simplifications ont été opérées sans succès. En 1815, les accords de Silith, commencent à définir les compétences des états membres de l'OCGC ainsi que celles que ces états souhaitent déléguer à un état central. Ces accords et cette coopération étendue au sein de l'OCGC sont les prémices de la proclamation de la République le 15 juillet 1815. Malgré le déroulement de cette rencontre à Silith, plusieurs états dont la Crosoh'nahï refusent de faire partie de l'OCGC. Ces accords demeurent en outre très génériques et pas suffisamment précis pour transformer l'OCGC en un état fédéral. La proclamation de la République le 15 juillet 1815 n'y changera rien et ce notamment du fait de l'absence de constitution.
Les années 1816 et 1817 voient des tentatives de fixer plus précisément les compétences et le fonctionnement des provinces sans succès.
Les années 1818 et 1819 marquent un certain recul dans le transfert de compétences des états fédérés vers l'état central. On revient peu à peu à la situation pré-accord de Silith, où chaque état fonctionne en autonomie. Le paroxysme de cette situation intervient en décembre 1821 lors des évènements de la seconde opération papillon alors que la province du Mont'Gra'Ham se proclame indépendante. Le retour à un système plus centralisé est officialisé avec l’avènement de la septième république en 1822.
Le 12 février 1821, l'assemblée des Maires des terres de Mandelsy approuve l'entrée du Dalj de Talj'Bahlï comme province de la République..
Le 24 avril 1822, l'assemblée des Maires des terres de Mandelsy approuve l'entrée de l'Eskilsd comme province de la République. Ce nouvel état est nommé en forme longue "Terres Australes d'Eskilsd".
Le 15 mai et le 17 juin 1823, c'est respectivement au tour du Duhnveh'nahï et de l'Olik'Yerh de devenir des provinces de la République.
Enfin, le 1er janvier 1825, la Crosoh'nahï, dernier état non intégré à la république, entre dans celle-ci achevant la troisième unification des Terres de Mandelsy.
CGETM | Nom | Drapeau | Nombre d'habitants | Description courte | Localisation |
---|---|---|---|---|---|
01 | Appart'nhay | ![]() |
54 101 946 | ![]() | |
02 | Chaih'nahï | ![]() |
23 122 889 | ![]() | |
03 | Elsoh'nhay | ![]() |
8 697 016 | ![]() | |
04 | Gahvtoh'nahï | ![]() |
3 550 484 | ![]() | |
05 | Lahver'nhay | ![]() |
3 994 153 | ![]() | |
06 | Mont'Gra'Ham | ![]() |
14 414 235 | ![]() | |
07 | Sih'nahï | ![]() |
39 929 628 | ![]() | |
08 | Sussi'nahï | ![]() |
1 885 261 | ![]() | |
09 | Avrayh'nahï | ![]() |
22 425 955 | ![]() | |
10 | Valax'thine | ![]() |
1 499 124 | ||
11 | Fayhmy'nahï | ![]() |
614 021 | ![]() | |
12 | Talj'Bahlï | ![]() |
7 142 687 | ![]() | |
13 | Eskilsd | ![]() |
~ 55 000 | ![]() | |
14 | Duhnveh'nahï | ![]() |
14 215 100 | ![]() | |
15 | Olik'Yerh | ![]() |
109 938 124 | ![]() | |
16 | Crosoh'nahï | ![]() |
28 124 120 | ![]() |
Les entités territoriales intermédiaires (ETI) : comtés, départements, résidences, dlajlili, orholh

L'échelon territorial suivant est celui des entités territoriales intermédiaires (plus souvent dénommé comtés ou départements en Crosoh'nahï et en Olik'Yerh, résidences au Duhnveh'nahï, daljlilis en Talj'Bahlï, orholh en Fayhmy'nahï). Ceux-ci sont hérités d'anciens royaumes plus petits composants les royaumes des Grands Royaumes de Mandelsy.
Les comtés correspondent à l'échelon territorial CGETM-2. Il s'agit de l'échelon territorial intermédiaire. Cet échelon territorial n'existe pas en Eskilsd du fait de la faible densité de population.
Dans le grand royaume de Mandelsy, les comtés sont de petits royaumes. Chacun d'eux, dirigé par un seigneur, prête allégeance à un seigneur plus puissant : le roi d'une province. Au début des années 1810, il existe 62 comtés en Mandelsy continentale.
Avec l'avènement de la république en 1815, les limites des comtés sont également fixées. Durant les troisième et quatrième républiques, les comtés ne sont dotées d'aucune compétence ni administration particulière. Sous la septième république, chaque comté (et leur équivalent dans les provinces non continentales) se voit doté d'un chef-lieu. Les comtés deviennent un échelon législatif important. Les habitants élisent à l'échelle des comtés leur représentant à l'assemblée nationale. Le nombre de représentants est déterminé en fonction de la population du comté (environ 1 représentant pour 400 000 habitants).
Les entités territoriales primaires (ETP) : communes, malgrandà, dajlilo, karhbern

L'échelon territorial le plus fin est celui des entités territoriales primaires (plus souvent dénommé communes ou malgrandàs au Duhnveh'nahï, daljlilos en Talj'Bahlï, karhberns en Fayhmy'nahï). Il en existe xxxx. La plupart des communes correspondent à d'anciens fiefs de la période féodale, prenant eux même source dans le découpage communale de la première et de la seconde république.
La commune correspond à l'échelon territorial le plus fin (CGETM-3). Elles regroupent généralement plusieurs villes ou villages. En Crosoh'nahï elle correspondent généralement strictement à une ville ou à un village ce qui explique leur nombre élevé au regard de la superficie de ce territoire. Au Duhnveh'nahï on parle également de commune mais plus souvent de malgrandàs. Elles correspondent le plus souvent à une ville ou un village à l'exception de la malgrandàs de Punta de Mazaltàn. En Talj'Bahlï, on parle de daljlilos, lesquels peuvent inclure plusieurs villes ou villages. Enfin en Fayhmy'nahï, on parle de karhberns ou plus classiquement de ville. Chaque karhberns correspond à une place fortifiée et donc le plus souvent à un village ou ville. En Eskilds, on parle de commune. Étant donné la faible densité de population, on en compte que trois autour des trois principaux villages sédentaires du territoire.
Historiquement, la commune est l'échelon territorial le plus ancien puisque le premier découpage date de la première période républicaine (755-1190 APU). La plupart des limites communales ont évolué depuis mais le nombre de communes (ou de fief à l'époque du grand royaume de Mandelsy) est resté sensiblement le même.
En 1815, au moment où ont été fixées les limites des provinces et des comtés, les limites communales sont également stabilisées. Il est décidé la création d'une nouvelle commune, celle de Valax'Thine qui comprend un morceau du territoire des communes avoisinantes. L'objectif était d'associer la troisième République à une nouvelle capitale.
C'est à cet échelon que sont décidés les politiques d'aménagement du territoire. Sous la troisième république, du fait de la faiblesse du pouvoir central, les communes ont pris elles aussi beaucoup de libertés et se sont octroyées de nombreuses compétences. Sous les quatrièmes et septièmes républiques, les Maires des communes sont directement acteurs des institutions républicaines en étant associés à la rédaction de la constitution et au vote des lois.
Climat
Le Shämölh'devorhÿ
Le Shämölh'devorhÿ est le nom donné à la zone climatique entourant les Terres de Mandelsy. Il s'agit d'une immense zone de tempêtes et aux courant maritimes chaotiques réputée infranchissable.
Catastrophes naturelles
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Ressources naturelles

Les Terres de Mandelsy possèdent de nombreuses ressources naturelles en particulier sur l’Est du territoire et sous les chaînes de montagnes. De manière générale, on retrouve du charbon sous les chaînes montagnes, du gaz et du pétrole à l’ouest sous les îles de l'archipel d'Ocëah'niah et du gaz de schiste à l’est.
Si le gaz de schiste n’est pas exploité car majoritairement situé sous la mer, les autres ressources le sont et en particulier en Crosoh'nahï et en Olik'Yerh. Sur le continent l’exploitation de ces ressources est limitée et en décroissance depuis la mise en place du plan EDEM en 1815. Ainsi, la création de nouvelle mines de charbon, gaz, gaz de schiste ou pétrole est prohibée. Les règles environnementales pesant sur les exploitations existantes ont été considérablement renforcées.
Les Terres de Mandelsy comptent également de nombreuses aquifères fossiles (i.e. nappe d’eau souterraines qui ne se régénèrent pas ou à une vitesse trop lente à l’échelle d’une vie humaine). Elles sont également exploitées de manière intensive afin de pourvoir les grandes métropoles en eau potable. Là encore le plan EDEM encadre les pompages dans les aquifères fossiles et vise leur fermeture totale d’ici à 1830.
Afin de convoyer les ressources extraites, des gazoducs, des oléoducs et des aqueducs ont été construits. Le gazoduc du Grand Est a la particularité de traverser la moitié du pays depuis les exploitations gazières de l’est jusqu’à Theide. Ailleurs, le réseau de grandes canalisations est plutôt réduit et faiblement interconnecté. Chaque grande ville possède par exemple son réseau d’aqueducs. Seule la Crosoh'nahï est bien irriguée avec des oléoducs et des gazoducs permettant de relier toutes les exploitations du pays au port de Lamb'dyotah.
Le sous-sol mandelsien regorge également de minerais et autres pierres précieuses. Là encore de nombreuses mines existent et sont toujours en exploitation. D’autres lieux sont également supposés abriter certains minerais mais l’extraction y est interdite. Les exploitations minières se concentrent dans les chaînes de montagnes, et dans la faille des grands Rhyh'iphtes . Des mines clandestines existent également. Certaines ont d’ailleurs été découvertes en 1821 et fermées depuis.
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Mine clandestine abandonnée découverte en 1821
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Mine clandestine abandonnée découverte en 1821
Enfin, les Terres de Mandelsy sont recouvertes par de nombreuses forêts notamment grâce au climat chaud et humide qui domine une large partie du territoire. Ces forêts ont par le passé été intensément exploitées et ont diminué de moitié dans la période courant de 1600 à 1740 (début de la grande guerre). De 1750 à 1815, le couvert forestier s’est de nouveau contracté mais à une vitesse moindre. Depuis 1815, et la mise en œuvre du plan EDEM, le défrichage est strictement encadré et les exploitants ont l’obligation de replanter.
Organisation du territoire
Répartition de la population
Les Terres de Mandelsy comptent 333 709 743 habitants en 2018.
Morphologies urbaines
Ville cotière de l'ouest

Démographie
Les Terres de Mandelsy comptent 333 709 743 habitants en 2018.